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Bon, il me reste 2 journées libres pour terminer les travaux d'hiver, avant la mise à l'eau, le 5 ou 6 mai.
Le beau frère avec constance assure l'aide indispensable à la tenue des délais.
Premier ouvrage du matin, ponçage du plancher, des joints posés la dernière fois et ponçage fin de la primaire avant polyurethane.
Le joint fera la frontière entre le blanc et la lasure.
Pendant que je m'active dans le cockpit, courageusement le beau frère s'attaque à la coque, et finit pas arriver à lui donner un lustre que je croyais perdu tout au moins pour cette année 2013.
Il reste quelques traces de notre ponçage " optimiste" de ces travaux 2012-2013 mais on verra l'année prochaine.
En attendant de débuter la peinture , je fixe les mains courantes additionnelles et le ratelier réparé.
Je comble au sika noir un joint ou deux oubliés
Je prépare l'option grand lit double avec la fixation des baguettes de long des puits de dérive et la pose du sommier à bande liège et les cales de blocage des coussins taillés dans les anciens hiloires.
Je fixe également les ailettes qui seront provisoirement peintes en blancs. et la peinture commence
Pour finir par la dernière couche de lasure plancher compris.
IL me reste à
- Remonter de l'accastillage et la barre découte
- Refixer les parois des équipets sous les plats bord et les bancs.
- Poncer les derniers joints
- Terminer de peindre les aillettes
- Nettoyer et repositionner le capot de roof et refixer les équerres de levage (j'ai commencé à regarder les verrins à gaz qui seront plus efficaces dans la tenue ouverte du capot).
- Faire une gorge de fixation des hiloires sur le plat bord, les coins de tenue sur le roof sont collés au Sika ( ponçage et lasurage rapide) pour ces pièces qui ne devraient par servir sur l'Erdre.
- Plus toutes les petites choses ce que j'ai oublié.
Et bien sûr préparer le bateau sur sa remorque pour le voyage.
Il me reste une journée...
FIN
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Ce matin temps nuageux avec du vent, je suis tout seul , tout se passe dans le cockpit. Je ne sors pas le bateau.
Comblement des espaces au mastic. J'en ai trouvé un super, Sec en 4 minutes ponçable en 15.
Je comble tout ce que je peux pour que l'eau reste au dessus et limiter les infiltrations.
Après 15 minutes, montre en main, ponçage et gelcoat de protection
J'en profite pour gelcoater les évacuations et les coulées d'évacuation du cockpit prélablement mastiquées et poncées.
un petit coup également sur le rostre
Premiere couche de peinture, primaire
De nouveau Gelcoat sur les sols
Et début lasure du support moteur
Au dessus des supports de bancs c'est du gelcoat
J'ai eu une réaction bizarre avec la primaire qui c'est décollée suite au passage d'un peu de gelcoat
Un ponçage sera nécessaire avant de remettre du gelcoat
Je termine par le sika dans la dernière rainure avant de partir.
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En fait, je n'ai pas fait ça tout seul, Mon copain, le fleuriste et venu dans l'après midi me donner la main.
FIN
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Mercredi au lieu d'aller bricoler j'ai passé le nouveau permis BE simplifié ou B96.
350 € c'est mieux que 850 € avec le code à repasser.
C'est une séance à 3 candidats avec un moniteur.
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9 h la cession commence par une revue théorique des règles d'attelage de remorquage ( avec la brochure Permis BE ancienne mouture) la nouvelle n'est pas arrivée...
- 10h30 Nous sommes allés sur le plateau de l'auto école afin de faire les allers et retours en marche arrière marche avant avec l'attelage
- On a 5 minutes pour 500 mètres en marche arrière en zig-zag. Personnellement 1'42 et 1'58 sans voir à remettre en marche avant pour aligner l'attelage.
Repas 12/13h on se débrouille.
- 13h la partie pratique en circulation 3 heures ( 1 h chacun)
De bons rappels de base ça ne fait jamais de mal en sus des trois infos importantes, anticiper anticiper et anticiper.
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16 h retour à l'Auto Ecole et délivrance du "papier". Un volet est envoyé à la prefecture et on nous demande de passer 15 jours plus tard "retirer ou valider" ( là encore du flou) sur notre permis notre nouvelle capacité de traction à 4250 kg
Facile rapide mais un peu décevant quand même, il reste un certain flou.
Bon on ne va pas chipoter.
A consulter
http://www.permispratique.com/2013-La-reforme-sur-le-remorquage-en-detail_a128.html
REFORME PERMIS B96
PTAC inférieur ou égal à 3 500 kilos (cumul véhicule tracteur et remorque)
Dans ce cas, ni formation B96 ni permis BE ne sont requis pour tracter une remorque de plus de 750 kilos. Pour connaître votre poids tractable maxi, vous pouvez appliquer la formule suivante (PTRA – PTAC, soit F3 – F2)
PTAC entre 3 500 et 4250 kilos (cumul véhicule tracteur et remorque)
La formation B96 ou le permis BE sont indispensables pour tracter une remorque de plus 750 kilos et dans la limite du PTRA du véhicule tracteur.
PTAC supérieur à 4250 kilos (cumul véhicule tracteur et remorque)
Le permis BE est indispensable pour tracter une remorque de plus de 750 kilos et dans la limite des 7000 kilos de PTRA du permis BE.
Dans tous les cas, pour les remorques inférieures à 750 kg, le permis B reste suffisant.Aplication au Kitty-ouan'.
La limite reste toujours le PTRA du véhicule tracteur et le PTAC de la remorque qu’il ne faut jamais dépassés.
Plus lourd c’est amende et si vraiment 5-10 % Immobilisation du véhicule et ou déchargement. C’est le moniteur qui nous adonné cette information.
Il nous a parlé aussi de la prise en compte du poids réel de l’attelage. Mais cela était flou et je ne suis pas sur que le contrôle éventuel en tienne compte.
Cela doit dépendre également de la compréhension de la maréchaussée et du temps qu’il fait…
Exemple 1/ mon 806 1595 kg a vide 2395 en charge et PTRA 3695 kg
En théorie je ne peux pas dépasser 3695 -2395 soir 1300 kg
Exemple 2/ MA 605 1480à vide 1985 en charge et 345 de PTRA
Donc 3495 – 1985 poids maximal 1510 kg de remorque.
Si de je reste à 300 kg charge par voiture, puis-je aller à 1800 kg de remorque pour le 806 et 1700 kg pour la 605?. Rien n’est moins sûr.
Là, la limite du crochet d’attelage doit être pris en compte, puisqu’il ( le crochet) est garanti pour un poids donné, ( donnée constructeur) . En l’occurrence 1150 kg pour le 806 et 1500 kg pour le 605. En cas d’accident je pense que les assurances regarderaient de très près la chose.
A mon humble avis c’est la carte grise qui donne la solution. Sinon ça obligerait la maréchaussée à peser systématiquement l’attelage.
J’ai trouvé sur Internet de quoi peser l’attelage Super mais cher.
http://www.accessoire-attelage-remorque.fr/fr/securite/8308-pese-vehicule.html
Mais attention; pour tous ceux qui ont une remorque de plus 750 kg il faut le permis B96. Les anciens calcul PTRA PTAC et PV ne sont plus valables ( infos du moniteur...).
Cet été il y en aura qui seront en infraction....
FIN
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Malgré un début de matinée couvert le soleil sort rapidement et nous chauffe la couenne.
Kitty-ouan est ressorti du hangar ou le soleil l'attend à l'est. Toujours du vent mais 17°C à 10h. Le moral est bon.
Malgré notre angoisse la résine d'hier est sèche à 95% et le mastic 100% .
La deuxième couche de lasure est vite passée
Kitty-ouan retrouve ses couleurs. La nouvelle ligne du franc-bord me plait et les joints du plat-bord de cokpit sont dans la ligne.
Le mastic epoxy bouche efficacement des replis de la résine d'hier .
Il solidarise également les renforts, base de fixation des "transats" au tableau arrière qui devient de fait beaucoup plus rigide.
Yves est automome et mène à grand train la colorisation du bois avec l'efficace collaboration du fiston.
Le soleil donne à plein, nous sommes sous une bonne étoile
La pause est bien venue pendant que les éléments profitent enfin de la chaleur pour sècher correctement.
Les WC de campagne sont installés derrière un engin de chantier en réparation.
Je peaufine le mastic des évacuations et prépare la jonction entre celles-ci.
Le mastic sous tablette a été poncé et Yves et le fiston lasurent à tour de bras.
La peinture peut commencer un peu tardivement vers 14 heures,
mais je dois ramener Yves à la gare.
Avant de partir je colle les planchers sous les bancs.
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FIN
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Yves, le breton terrien, est arrivé hier soir.
Mon fils ainé est venu donné un coup de main.
La méteo annonce du beau temps pour le weekend avec un peu de pluie en début de matinée.
A 10 h nous sommes sur place entre vent et averses de pluie. Nous sortons tout de même le bébé et effectuons un ponçage et une aspiration générales.
L'équipe de Ponçage est à l'oeuvre
Je positionne les bancs et les transats pour placer et coller mon support moteur.
J'enduis les coffres et comble avec une résine silicée les espaces entre mes contreplaqués et positionne mon support de moteur, vissage et collage.
Le mastic epoxy, sans rétraction, sera nécessaire pour parfaire le jointage à fleur de surface.
Pendant ce temps mes aides débutent la lasure sur l'avant.
et repassent une couche sur les "accessoires"
Un rayon de soleil erratique nous fait croire à la bonne nouvelle, il fait toujours 13°C et j'ai un mauvais pressentiment pour le sèchage de la résine. Nous ne passerons pas la première couche de peinture cet après midi.
Une petite découpe en coin stabilise le hiloire dans sa cale sur le roof.
La première couche sur les passes avant redonne un peu de moral.
Mais les bourrasques violentes envoient sur le bateau des nuées de chatons, pollen, feuilles et morceuax de branches, des arbres au alentours.
Je colle les tablettes au mastic et elles sont vissées par en dessous. Je mastique également la jonction inférieure de la tablette et de la partie basse du roof qui montrait un jour de 3-4 mm ( entrée d'eau probable !!)
Après avoir positionné mes évacuations d'eau et plaques de rélèvement de dérive, je mastique et vis les plaques directement sur la paroi verticale.
Avec le mastic epoxy je jointe les évacuations, et surcouche la résine et le mat de verre.
L'essai de relevage de la dérive gauche est probant: facilité et geste parfait sans effort pour le dos.
Cette première journée s'achève sous une pluie féroce accompagnée de vent.
FIN
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Bon pour le mât je résine la tête ,
et la queue
Pour le reste, on verra l'année prochaine
Pendant que je mélange la résine le beau frère débute la lasure du Mât. Les taquets y passent comme le reste. Ils auront probablement droit à de la résine.
Le collage des supports de bancs de cockpit sont collés à la résine epoxy 100 % de silice en volume.
Les panneaux sont collés à la polyuréthane et vissés, ça devrait rester étanche.
Le problème c'est la température . A moins de 10-11 °C et avec un taux d'humidité élevée, la résine de sèche pas. Pendant que je colle les panneaux de CP sur les volumes de flottabilité ; mon petit chauffage céramique fait des miracles sur la résine d'hier .
Après avoir prédécoupé les lattes et les cales, celles-ci sont collées également à la polyuréthane.
Avant de partir, je jointe au Sika toutes les rainures ouvertes.
Une cartouche complète est nécessaire par coté .
J'essaye de durcir le capot du coffre de cockpit arrière qui fendu en étoile, craque dramatiquement dès qu'on met le pied dessus
Là encore le chauffage est nécessaire avec cette température qui ne monte pas au desus de 10 °C.
Tout est collé . Reste une résine d'étanchéité à faire sur les coffres de flottabilité plus quelques comblements de résine ici ou là et enfin un dernier ponçage ou presque avant peinture la prochaine fois.
Yves,le terrien breton vient pour ce final, le weekend prochain.
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C'est parti, on colle. Bon rien de plus classique , c'est comme une vitre dans un cadre. Le silicone ça se pose au liquide vaisselle.
Il y aura deux ou trois petites retouches de peinture mais globalement ça devrait être étanche.
Je commence la lasure dans le sous sol et mon atelier. ça pue la lasure, tout le monde râle à la maison.
J'ai d'abord utilisé une lasure chêne clair mais je dois ratrapper une différence de couleur de bois entre les contreplaqués. La deuxième couche sest en chêne doré. En alternant les couches, les teintes se rapprocheront.
Un peu de bricole sur l'arrière du capot moteur et lasurage/vernissage acajou.
La barre reprend des couleurs.
La cale de mât va recevoir au moins 6 couches de vernis pas douze comme avec S..... Roy. OUF j'ai eu chaud j'ai failli donner la réponse.!!
Le ratelier réparé et la porte du roof reprennent également de la couleur.
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2ème et 3ème couche au jardin
et 3 ème couche
Protection pour la nuit j'ai la flemme de tout rentrer
Je protège le tout sous une bâche pour la nuit, demain il fait, ça finira de sêcher .
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Après 3 jours d'exposition à la pluie parisienne, les joints sont totalement étanches.
FIN
n,n
FIN
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Le cockpit du Pirmil 5.50 est vendu comme autovideur, il est surtout auto remplisseur.
La gîte ou même la présence de 2 personnes et du moteur dans le cokpit met le canot sur son arrière et le cokpit se remplit naturellement par les puits de dérive.
Le plancher du cockpit se trouve en fait à peine 10 cm au dessus de la ligne de flottaison . Bon d'accord mes 100 kg et 2 ou trois passagers ,plus les 200 kg de matos, moteur et réserves diverses font que la partie immergée augmente de façon considérable. Mais les mouvements de houle et la gîte par vent fort sont des facteurs malgré tout préoccupants en mer.
A chaque mouvement, 1/2 litre d'eau, rentrait dans le canot sur le golfe du Morbihan, nous nous sommes vite retrouvé avec 50 ou cent litres qui plombaient le bateau sous le vent. D'où les serpillères, pour ralentir le phénomène.
Mon idée est donc de contrôler ces rentrées et de pouvoir gérer les évacuations dans les changements de bord.
Voilà donc mon idée de montage ( en rouge le bout pour relever les dérives)
J'avais regardé les bouchons de nable laiton inox et autres évacuations de luxe mais à 30 ou 50 € pièce, il faut bien que je décide d'arrêter les frais à un moment donné. Donc je fabrique.
Direction Castorama, au rayon plomberie pour 6 euros on a peu de chose mais cela devrait suffire.
Avec le chalumeau j'aurai les deux coté pour le prix d'un.
L'idée est de faire affleurer l'embout, noyé dans la résine et de réaliser une bonde en cahoutouc.
La découpe dans un cahoutchouc fort de 6 mm d'épaisseur ne prend que 5 minutes. La doubler me semble une bonne idée pour éviter une sortie intenpestive par suppression.
Quelques tests d'étanchéité :
De toute façon même une moindre étanchéité ne devrait être trop gênante.
Un petit trou dans les rondelles ( on ne les compte pas ceux-là).
Un boulon de cage à chat.
et c'est fait . Le principe est bon mais la préhension reste difficile de retirer la petite bonde, il faudra un truc un peu plus long pour mieux les prendre en main ( genre boulon à oeillet avec un bout pour ne pas perdre l'embout.
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Bon, une chose est sûre, je ne suis pas le roi du chalumeau. Un peu de chaleur et le PVC a fondu d'un seul coup, impossible à rattraper.
Peut être qu'il faut faire encore plus simple. l'embout coincé par de la résine entre du contreplaqué et et un remplissage de résine.
Je ferai couler de la résine sur des pièces de contreplaqué empilées à boucher le trou. Le tout sera mis à niveau du plancher.
Je vire les lattes qui empéchent les eaux d'écoulement du pourtour du capot du vivier. Et devinez quoi ? Le bois dessous est humide, encore humide après 6 mois de hangar! Le tissu mat et la résine se décolle avec facilité sous les morceaux de lattes que je viens d'enlever.
Je meule jusqu'au bois un peu plus sec, je devrait faire sècher avant de mettre ma résine et mon gelcoat. Pour l'année prochaine mon boulot est tout trouvé...
Le bout de la dérive traversera la plaque de contreplaqué dans un passage dont la partie supérieure sera délimité par un petit morceau de barre en bronze ( reste de ma barre d'écoute) collée à l'epoxy et maintenu horizontal par du contre plaque collé.
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J'ai préparé les pièces nécessaires ; un morceau de contreplaque bizoté
les plaques supports avec le rond de barre inox
et les supports de taquet coinceur avec un angle de 45 °
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Malgré la température qui gène le chêchage de la résine, il a bien fallu commencer à combler les anciennes évacuations. Un peu de mat de verre épais, et une bonne imbibation derésine avecun peu de sêchage céramique.
J'ai retrouvé le morceau de barre en bronze
Voilà la bête avant collage.
FIN
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Bon j'ai trouvé la solution pour les plats bords et les hiloires.
J'avais meulé et retaillé avec mon copain le fleuriste les anciennes lattes des bancs de cockpit et on avait fait un montage en doublant le plat bord existant pour le consolider et le ramener au même niveau que le pont avant.
En fait je vais faire plus simple. Après une discussion avec mon beau-frère et malgré son éloignement congénital peut être même génétique avec tout ce qui est bateau ou bricolage, il aime les choses simples. Personnelement, il m'arrive pour finir sur une chose simple de penser d'abord compliqué.
Attention, j'admire et j'apprécie sa constance à venir m'aider malgré ce lourd "handicap".
Je recreuse à la meuleuse toutes les rainures et les joints de sika complèterons la déco à l'identique. Je consoliderai le plat bord par dessous en doublant avec les lattes préparées pour le dessus.
Dans un premier jet, il y a du laisser aller dans la ligne droite, je devrais pour voir améliorer au deuxième passage.
En ce qui concerne les hiloires, ceux que j'avais fabriqué étaient un peu longs et impossibles à ranger sur le bateau.
Bien qu'esthétiques ( il faut de l'Ego dans la vie) ils étaient difficiles à utiliser.
Le problème principal était qu'en mer, ils prenaient la place de 2 personnes sur le plat bord qui n'était plus, de fait, utilisablse. Le beau frère d'un esprit pratique:
" C'est trop long, tu coupes.."
En fait c'était la solution. Ni une ni deux, la scie sauteuse se met en route. Je garde le galbe des courbes à 2 niveaux de bout de Hiloires.
La longueur additionnée à la gîte devraient être suffisantes pour laisser dehors toute l'eau qui pourrait rentrer.
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Voilà c'est découpé placé et calé .
J'en ai profité pour fermer derrière les ailettes. C'était un vrai "nid a merde"
Mon beau frère a joué les femmes de ménage et a nettoyé tout ce que nous aurons à peindre.
FIN
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