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On ne se refuse rien dans ce chantier slovène; mât carbone et une gueule de mini 6.50.
le site http://bateau.ouest-atlantis.com/seascape-18.html permet de bien le situer au sein de la concurrence.
Le bout dehors reste dehors comme la baille à spi asymétrique.
Le cockpit XXL à la façon open 500 ou 5.50 donne sur une cabine où l'on pourra dormir lors de raids sur une plage ou au mouillage.
Une bonne trentaine de Seascape évoluent déjà un peu partout en france et se retrouvent pour des régates de monotypie à l'instar des Open et autres luges du marché.
A lire l'essai http://www.yachtingsud.com/_mdb/essai/29fr_Essai_Seascape18.pdf
un comparatif video sur Voiles et Voiliers mais réservé aux abonnés.
ou le site du SEASCAPE http://www.seascape.fr/
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Quand j'ai commandé mon Kitty-ouan en 2007, j'avais bien regardé l'IKONE du chantier de Concarneau. Il correspondait à mon budget et à pas mal de mes critères de recherche.
Grand cokpit , deux couchettes pour dormir , facilité de manoeuvre tout seul, poids gérable pour tracter sans permis E. Le ballast liquide permet de garder l'ensemble sous les 1000 kg avec la remorque.
Ce qui m'avait fait hésiter c'était la voile unique et l'aspect clinique du cockpit... Pour un voileux comme moi, ça me génait aux entournures cette voile qui se roule sur le mât.
A l'époque, le chantier ne proposait pas encore le bout dehors, le spi asymétrique et les bastaques. La position des bastaques sur le liston juste en arière du cockpit m'a donné l'idée du positionnement des miennes sur le Kitty-ouan'.
J'aime bien la casquette avec l'évier et la petite table pour le réchaud en extérieur. Mais il y avait une absence de chaleur dans ce cockpit qui m'a dissuadé.
La petite porte arrière pour accéder à l'eau m'avait paru une bon ne idée. Elle le reste d'ailleurs. L'inconnu était le comportement sous voile même si le chantier semblait confiant.
Bon d'accord le chantier le présente comme un pêche/promenade. Les pécheurs qui l'ont acheté ne s'y sont pas trompés. Le grand cockpit pour aller mouiller les casiers.
Les discussions que j'ai eu sur les pontons avec les propriétaires souvent pêcheurs étaient plutôt faborables.
"Le bateau se couche et se redresse sans soucis".
"J''ai cassé mon mât mais il y avait force 7..." (4000 € à minima tout de même). Quand on pense au mât du skellig...
"Le 20 chevaux rend la vie plus facile dans les courants".
Vous saurez tout sur le site du chantier sur ce Catboat de pêche promenade
http://www.espace-vag.com/voilier-peche-promenade.php
Bon il y a aussi l'IKONE J , le J Rando, le JS et enfin le JS Rando...
C'est bateau de ballade qui en donne beaucoup. Les voileux, pour le coup, sont comblés par les qualités marines et de planning du dernier nez du chantier Espace Vag.
La déclinaison des aménagements sur la même coque permet de trouver son bateau. Plus fun plus sportif que son ainé mais avec une cabine un peu exigue pour ma carcasse.
Le cockpit en perdant un peu de longueur au profit de la cabine reste un des plus grands de la catégorie.
Les doubles safrans les sangles de maintien du barreur et les cales informent le barreur; " vous êtes sur une petite luge..." On se rapproche du " Seascape 18"
Le système de dérive entièrement rétractable permet de beacher ou de raser les cailloux sans soucis, avec un tirant d'eau de de moins de 25 cm
Tout sur le JS Rando http://www.espace-vag.com/ikone-js-rando.php
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Aujourd'hui un de mes fils est venu m'aider un peu et on a bien avancé. Le pont est meulé à 90%.
Après un premier degrossissage , on repasse avec le disque plus fin et c'est presque correcte.
Les disques de ponçage sont encrassés, il va falloir que je les renouvèle.
Certains coins restent inaccessibles à la meule. Il faudra trouver autre chose.
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Certains vont taquiner le goujon, d'autres plus entreprenant taquinent le Guépard comme le chantier Marine composite.
Ainsi navigue le "sister hip" du Guépard. Les afficionados du chantier de l'île aux moines vont certainement bondir. Il faut qu'ils comprennent que tout le monde n'a pas forcément envie de naviguer "bois" même avec tout le prestige de RIGUIDEL à la clé.
Toujours le même principe de ces dernières années; une coque composite avec dérive métallique et parements bois. L'esthétique de la gazelle est réussi.
Reprenant quasiment les cotes du Guépard et légèrement sous toilée par rapport à celui-ci, elle fait bonne figure sous voile avec ses 380 kg.
La structure en nid d'abeille garantie de longévité et de solidité a permis de réaliser un cockpit autovideur que beaucoup apprécieront.
Très bien toilée elle pêche cependant par un déficit de stabilité ( malgré un bau de 2.06m) quand on cherche à pointer au vent quand il monte. Le chantier semble avoir prévu pour 2013, une dérive doublée en poids. Ce qui est une très bonne nouvelle.
Les voiles écrues du grément houari sont superbes.
Avec l'option mât carbone c'est un noeud ou plus de gagné, une moindre gite et surtout une facilité de manipulation au mâtage et démâtage. Que du bonheur!
Cette gazelle à été épaulée l'an dernier par la gazelle croisière qui est un franc succès.
Le cabotage est donc permis à ceux qui n'hésiteront pas à plier la carcasse pour rentrer dans la cabine.
IL y a désormais 55 Gazelles qui énervent une centaine de Guépard.
Tout sur la mouche du guépard sur le site
http://www.marinecomposite.fr/caracteristiques-techniques/51-caracteristiques-techniques
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Est-ce qu'on peut mettre 100 kg de marin sur cette petite bête? Il semble que oui! Cela fait maintenant quelques années qu'environ deux cents petites coques donnent du plaisir à leur propriétaires.
Une gueule de thonier à voile en réduction qui séduit tout le monde.
Une ligne à faire baver les amateurs de bateaux de Franck Roy.
Ca s'emmène partout, ça va partout, ça part de presque n'importe où.
On la tracte derrière une bicyclette sur son cageot à roulette. Tout est facile et simplissime: le plaisir à l'état pur.
Contrainte zéro ou presque. Une piscine gonflable, 3 ventilateurs en parallèle et deux gazelles, on monte une école de voile dans son jardin.
Voile au tiers 5 m² ou toute voile dehors ( jusqu'à 14 m²) c'est possible. A la Baule il y a une course "Aller et retour les Evens"qui se joue tous les ans avec les "guest stars" de la voile qui ne manqueraient le déplacement pour rien au monde.
Depuis 2 ans, le lascar du Toulru est venu épauler la gazelle.
Pour les feignants qui ne veulent plus pagayer, il y a maintenant un moteur électrique pour rentrer quand il n'y a plus de vent.
Une super gazelle, la "gazelle des îles" va bientôt voit le jour, une gueule de clipper transocéanique, on attend avec impatience.
Un nouveau chantier naval est né sur une idée de cadeau. Super, non!
Tout sur les gazelles http://www.lagazelledessables.fr
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Toujours une bonne bouille sur l'eau les skellig 2, quelque soit le grément, sloop, aurique ou avec une ou 2 voiles au tiers .
La facilité et l'économie sont les 2 qualités de ces canots qui naviguent régulièrement sur la petite mer bretonne, entre autre.
Les semaines du Golfe accueillent tous les deux ans une petite flotille de ce canot symathique.
La nouvelle couleur " café au lait du canot et les quelques éléments de bois ont renforcé l'aspect traditionnel depuis 3ans .
Le chantier PLasmor ne fait pas forcement l'unanimité mais on ne peut que constater la rigueur de cette construction " Made in France". Le maintien d'un prix de référence raisonnable ( environ 20000 € pour le canot et sa remorque) passe par un refus de toute concession au clinquant habituel de la voile classique.
C'est un travailleur du changement de plan d'eau?
Même pas peur de charger et décharger le bateau matin et soir.
On pète le mât , même pas grave, 300€ on le change, quelques rivets plus tard, on hisse et on repart.
Un grand cockpit comme je les aime. A cinq ou six en ballade à 2 milles des cotes, on peut aller faire un picnic.
Pourquoi pas un raid cotier en couple, seul au monde sur une plage perdue d'une île de Bretagne. Ca ne vaut plus de coup de faire 20 h d'avion pour les îles Grenadines. Bon d'accord vous n'aurez pas les tortues et les raies ou les poissons multicolores, mais l'eau des Glénans ou de l'île d'Houat valent bien la Tobaggo bay ou l'île morpion.
Pour les grandes carcasses c'est un peu étroit mais tout le monde ne mesure pas 1.83m et 100 kg.
Pourquoi pas tout c'est tellement facile et léger.
C'est rustique à dessein pour les navigations simples et sans fioritures. Si c'était justement ça le bonheur: les contraintes et le coût "a minima" du raid cotier.
Allez donc faire un tour sur le chantier vous serez accueilli très gentiment et vous pourrez visitez et peut être voir votre futur canot se construire.
Sinon le site du chantier et vous saurez tout : http://www.plasmor.fr/
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Ca fait plaisir de revoir le bois clair d'origine. Le rabot ne peut passer partout, c'est la meuleuse avec un disque ponçage qui accède le mieux aux angles.
Elle abrase en profondeur un peu de façon irrégulière mais en grande partie à cause de mes mouvements pas assez amples. Cela devrait s'améliorer.
En ce qui concerne les assises du cockpit, à gauche comme à droite, le contre plaqué a droit à un joint congé au dessus mais pas en dessous!!!
A tribord, il n'y en a pas en dessous mais le joint a tenu car je dois être moins lourd sur la droite du bateau.
A babord, il n'y en a pas non plus mais mes 100 kg ont eu raison du joint.
Je veux bien que ça soit costaud mais quand même. Cela va bien avec la réputation du bonhomme sur les pontons; " Lelièvre, il ne sait pas finir ses bateaux."
Après meulage du joint congé . (vue de dessous) Le noir, ca serait bien de la moisissure.
Vue de dessus après nettoyage à la meuleuse du contre plaqué.
L'intérieur du contreplaqué du volume de flottabilité est encore humide au doigt. Après meulage partiel de la surface...
...je prends donc la décision de l'ouvrir en 2 autres endroits pour aider au sèchage. Le hangard est chauffé car mon travail encore quasiment tous les jours. Cela devrait être bon.
Je refermerai le volume en collant un contreplaqué à la résine pour refaire l'étanchéité. J'ajouterai de la mousse de flottabilité pour combler les 20 % de volume manquants.
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J'avais hésité à prendre le 250 Watt mais je ne regrette pas.
En minutes je règle le problème des coins à couper, là ou le rabot et la meuleuse de vont pas
C'est propre net et quasiment sans bavure. J'ai maintenant accès pour rabot à tout le liston et tous les coins et encognures bizarres ( coins à acumulation de merde, feuilles et plumes que je vais faire disparaitre.
Ca fait plaisir de voir du bois ....... propre et net.
Même les joints sika ressortent propres.
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Malgré les 8 semaines et quelques sous hangard, certaines zones restent " humides" et le bois noircit.
Le test du couteau montre que le contreplaqué au dessus des zones moussées ( pour la flotabilité à babord) est plutot ramollo. Est-ce la pluie qui est tombée cette année?
Une seule chose à faire, enlever toutes les planches de pins des assises du cockpit. A tribord, la tâche est relativement aisée puisque je les avais recollées au sika sur le contreplaqué repeint à l'epoxy. Les démonte-pneux me sont très utiles.
Le bois au tour du moteur est fendu sur plusieurs endroits où l'eau a pu s'infiltrer.
De l'autre coté, :c'est une autre histoire toute la surface du caisson de flotabilité est fragilisée par l'humidité et malgré une progression très lente du positionnement des démonte-pneux le bois s'arrache et arrache en partie le contreplaqué ramollit.
La trappe par laquelle la mousse a été introduite n'est pas étanche et elle bascule sous la poussée d'un doigt. La mousse qui semble ne remplir que 80 % du volume est humide...
Au moins à babord, tout le contreplaqué est à changé.. Super!
Je commence à raboter mon plat bord, afin de permettre l'écoulement de l'eau vers l'extérieur et pas vers l'intérieur. La résine apparait comme prévue et il faudra que je trouve un moyen de la cacher.
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Mon fidèle rabot, BOSCH pourtant, vieux de 12 ans, me lâche en laissant echapper une fumée abondante avec une odeur de cramé. les cales plastiques de l'axe ont fondu: il est mort.
J'ai retrouvé le même pour 50 € sur le boncoin ( quasi neuf) et afin de finir le boulot dans les coins où même la meuleuse ne pourra pas aller, j'ai acheté un multitool, un BOSCH. je suis curieux de voir comment ça fonctionne. Cela semble super sur la video.
Avec Daniel on récupére la ferrure inox de l'étrave. Celle ci avait pris un sale coup lorsque M Lelièvre son concepteur l'a amarré à Trentemeoult et la plaque avait souté par dessus les ergots en tapant sur le ponton.
Daniel, le roi des soudeurs, me règle le problème en 3 petits coups de soudure. Cela semble si simple.
J'ai commandé mon contreplaqué marine sur le stand " A l'abordage",ils me font cadeau de la livraison: 2 planches complètes de 10 mm,
La résine et le mastic chez USHIP où le technicien qui m'écouté, a été vraiment sympa, compétent et commercial. J'ai passé plus de 2 heures à discuter sur mes réparations. Il m'a fait rencontré des spécialistes des résines et de la contruction CPE. Tout sera livré a la boutique de Grigny (-10 % sur la commande) j'ai même eu 15% sur les 4 litres de résine nécessaires à mon projet.
Et enfin sur le stand "Paris voile" de ce Nautic, je dégote 7.5 litres de peinture Epoxy en promo à -20 %. La boutique est à 500 m de chez moi, je récupère facilement mes achats.
Les discussions avec Gilles Conrath et Antoine Carmichael ont achevé me décider sur la conduite à tenir. Il faudra juste faire attention au poids "ne pas remettre plus de poids que je n'enlèverai" sera ma ligne de conduite. Mais j'ai déjà mon idée.
Voilà j'ai de quoi bosser cet hiver.
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Ils sont plus de 1000 sur l'eau, ( 1050 exactement) et beaucoup d'anciens naviguent encore. Les rassemblements réunissent très régulièrement plusieurs dizaines de bateaux qui régatent avec acharnement.
Un modèle en bon état de 1981 se vend encore 19000 €.
Le chantier ( http://www.saint-briac-nautic.fr/) assure l'importation exclusive des Cornish Crabbers et l'entretien de ces unités très marines du coté de Saint Briac.
Une coque polyester, échouable 2 fois par jour, et des parements bois , il y 30 ans les anglais le faisaient déjà. C'est du costaud, fait pour durer. Le spruce pour les bois, le teck épais sur les bords et les petits hublots ronds sur le franc bord, renforcent l'image traditionnelle du canot.
Une jumelle surdimentionnée pour le pied de mât et une possibilité de démater en mer tout seul avec le bout dehors comme chèvre. Les anglais peuvent venir facilement sur les canaux français.
Une barre vernie, épaisse et la possibilité de choisir un moteur inbord ( + 9000 €) ou un hors bord sur chaise latérale à la barre.
La capote est anglaise, comme il se doit, et de rigueur quand on sort sous les climats du nord de la Petite ou la Grande Bretagne.
Photos a retrouver
Avec ses coussins épais, l'intérieur " anglais" se veut très "cosy"et peut être décliné de 1000 façons différentes. Le choix sur catalogue ( plus ou moins avec supplément) n'est limité que par la bourse. Plusieurs aménagements sont possibles. ( pour 4 copains ou un couple)
Photos a retrouver
Le prix est en Livre anglaise et dépend du change. Le prix, eu égard à la prestation complète et rigoureuse, digne d'un peuple de marins, est somme toute raisonnable pour 6 mètres de long.
Tous les détails sur ( http://www.saint-briac-nautic.fr/)
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