•  Mai début Juin, l'an dernier, c'était la semaine du golfe du Morbihan. Yves, le breton terrien, est devenu accro au camping nautique. 

      Nous avons donc décidé de renouveler les sensations de cette semaine. La descente de la Loire nous a paru idéale pour nous retrouver. Il fut convenu d'un weekend avec nos femmes puis de descendre la Loire découvrir un peu l'estuaire et d'aller dormir soit à Pornichet soit à Pornic, tout ça, bien sûr, en fonction du vent.

       C'est vendredi matin, Paris ... départ à 6 heures du matin ....  ptit dej  chez PAUL à 8h30 ..... la route est belle.

      Depuis un mois la méteo est excécrable, de la pluie quasi quotidienne mais "il semblerait qu'il y aurait peut être" une éclaircie pour le weekend.

      Nos femmes nous rejoindrons demain midi  à l'hôtel de la Régate.             

       Cent miles sur la Loire.

     Nous retrouvons vite les habitudes. Le breton, p'tit mousse au travail sur le pont est souriant...

    Cent miles sur la Loire.

     et serein.

      Cent miles sur la Loire.

      Nous hissons les voiles pour une ballade et une nuit sur les plaines de Mazerolles où je compte bien lui montrer le coucher  et le lever de soleil.

       Nous ne sommes pas déçus. 

    Cent miles sur la Loire.

    Cent miles sur la Loire.Cent miles sur la Loire.

    Cent miles sur la Loire.

     La fraîcheur est au rendez-vous également mais nettement moindre qu'au mois de mai, et les couleurs sont bien là.

    Cent miles sur la Loire.

      Cent miles sur la Loire.

    Les zooms d'aujourd'hui permettent des vues intéressantes. 

    Cent miles sur la Loire.

    Cent miles sur la Loire.

      Ca va être une journée "ornithologique"

      Après une petite ballade sur la plaine nous prenons le chemin de Sucé.  Nous réussissons à prendre une douche et à nous raser à la halte du port de SUCE. C'est donc tout frais et proprets que nous rejoignons nos femmes à l'hotel de la Régate.

        Le déjeuner se fait sur le Kitty-ouan' ancré face au château de la Gâcherie; champagne, blinis avocat nous sortons le grand jeu. 

    Cent miles sur la Loire.

      En dessert, le crumble casserole: c'est très simple.

     On fait cuire 4 pommes dans une casserole. une fois compotée, on met deux petits pots de gelée de groseille ( récup de p'tit dej de restaurant). On émiette  5 ou 6 biscuits au sésame (Gerblé) et on ajoute pour finir 3 petites doses de lait concentré ( idem). A déguster tiède. 

     Nous mangeons à l'Escarpolette le soir. Kitty-ouan' s'amarre au ponton à 100 m de l'hotel pour la nuit... 

     Cent miles sur la Loire.

     ...où nous le retrouvons dans le soleil du matin.

       Aujourd'hui nous remontons l'Erdre vers Nord sur Erdre. Nous avons récupérer des  "paniers" repas à l'hôtel.

      Le temps se couvre et nous assistons à une régate de Muscadet, un régional ou un national sur le royaume des chantiers AUBIN. 

    Cent miles sur la Loire.

     aggressifs tant en couleurs, qu'en cliquets  de winch et ordres secs  de manoeuvre. 

    Cent miles sur la Loire.

       

    Cent miles sur la Loire.

     

    Cent miles sur la Loire.

     


     

     

      Une fois passé le pont de Sucé, le soleil revient  et  un Bélouga vernis nous ouvre la route...

    Cent miles sur la Loire.

     ...de l'Amazone nantais.

    Cent miles sur la Loire.

    Cent miles sur la Loire.

    Cent miles sur la Loire.

    C'est un festival de cignes, de hérons,  de cormorans et autres emplumés.

    Cent miles sur la Loire. 

    Cent miles sur la Loire.

    Même des crocodiles et caïmans sont au rendez-vous

     Cent miles sur la Loire.

     

      Devant l'entrée du canal de Nantes à Brest, les panneaux trônent au milieu de l'eau comme s'ils rappelaient une route inondée.  

    Cent miles sur la Loire.

     

    Cent miles sur la Loire.

    Cent miles sur la Loire.

     Sous le contrôle des cormorans, nous remontons vers Nord sur Erdre.

    Cent miles sur la Loire.

     Cent miles sur la Loire.

    Cent miles sur la Loire.

    Cent miles sur la Loire.

    Cent miles sur la Loire.

     

    Cent miles sur la Loire.

     

    Cent miles sur la Loire.

    Maisons sur l'eau et chateaux s'égrennent sur les berges au retour 

    Cent miles sur la Loire.

       Le soir, soirée sur les terrasses de l'hotel sous un soleil finissant, qui nous promet 3-4 beaux jours de suite pour notre descente de la Loire. 

      Nous abandonnons nos femmes le lendemain vers  midi pour descendre vers Nantes. Nous devons passer l'écluse avant  18 h . 

    Cent miles sur la Loire.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

       

     

     

         Arrivés devant l'île Versailles, Yves découvre la maison de l'architecte :

     Cent miles sur la Loire.

     

        

     

     

     

     

     

     

     

     

     

       Nous passons, mât dressé sous la passerelle du quai versailles où nous nous amarrons, devant la capitainerie. Nous faisons le plein et demandons s'il est possible de passer la nuit à Trentemoult.

     Impossible, il est quasiment réservé à des gens qui vivent sur leur bateaux!!!!! Est-ce vraiment normal?

     Nous pourrons nous mettre devant la boudeuse sur le quai de l'île Beaulieu. En face la ville crée une zone de ponton de long du quai de la fosse, futur port avancé de Nantes.

     Nous dématons et enfilons le tunnel pour rejoindre l'écluse. Nous la passons en couple avec un bateau de 7 mètres qui viendra se mettre devant nous sur le ponton de l'île Beaulieu.

        Cent milles sur la Loire.

      Nous amarrons avec un  courant de 3 noeuds dans le nez. 

      Nous dressons le mât et j'installe le foc en écran/cagnard. Le soleil de 18h rentre dans la cabine  et nous chauffe la couenne de façon intense. 

    Cent milles sur la Loire.

     

      Pas de WC ou douche accessible... Bon on est équipé, on positionnera le WC chimique sur le pont.

     Mais il y a des choses dont on ne peut priver un breton trop longtemps, les crêpes entre autre. Nous partons donc à la recherche d'un dispensateur de douceur sarazine, une crêperie. 

      Nous passons le pont et remontons à droite et à gauche le quai de la fosse. Que dire du quai de la Fosse? 

      Le quai de la fosse est un ancien quartier de Nantes que le passage du  tramway n'a pas encore transformé. Les bars gay et ses sexe-shop se succédent. Je ne  doute pas que notre premier ministre et ancien maire de Nantes souhaite faire évoluer cette zone. La création du ponton visiteur en contrebas du quai  en est peut être le prémice.

      Un ou deux bars aux enseignes électriques déglinguées et pendouillantes ne donnent pas envie d'entrer. Nous décidons de nous éloigner des quais pour trouver notre pitance.

      En remontant la rue de la verrerie, nous tombons sur une crêperie dans une petite rue parallèle à la loire, la GAVOTTE , fermée le lundi...? Déçus, nous faisons quelques courses dans une petite supérette où au fond d'un congélateur nous trouvons un trésor , des crêpes surgelées. 

      Cent milles sur la Loire.

      Nous retrouvons le Kitty-ouan' devant la frégate de la marine nationale qui est devenue un Musé flottant. Le temps  que les crêpes decongèlent nous nous attelons à nos travaux de couture sous le cagnard et les regards de quelques badaux.

     Cent milles sur la Loire.

    Cent milles sur la Loire.

       Malgré une amitié de 25 ans , nous avons décidé de nous donner un peu d'intimité.  Dans le reste de toile à parasol orange, mon idée était de réaliser 2 tentes d'intérieur. Mais après en avoir "gâcher" une partie pour éviter de se coller  les fesses sur le pont , seuls des rideaux sont envisageables.

      Cent milles sur la Loire.

        Au bout d'une heure et demie d'effort  sous le cagnard, les cabines sont prêtes,

    Cent milles sur la Loire.

     et  individualisées.    Cent milles sur la Loire.

     Cent milles sur la Loire.

       Les crêpes sont cuites dans la poele du bord

       Cent milles sur la Loire.  

    et servies sur le pont avec des tomates à la croque au sel e compote de pomme en dessert.

    Cent milles sur la Loire.

       La Loire se met au calme de l'étale et le coucher de soleil sur Nantes n'est pas si mal.

         Cent milles sur la Loire.

      Le ponton flottant de la Compagnie Maritime, le " Nautilus" qui regroupe plusieurs restaurant  et des salles de réception se dresse à 200 m. Les prix du restaurant nous ont paru chers mais nous décidons malgré tout de lancer une mission santaire/digestive vers  21 h.  

        De la terrasse nous pouvons surveiller le Kitty-ouan'.

       Cent milles sur la Loire.

       La mission sanitaire est un franc succès et c'est soulagé que nous décidons de paresser sur la terrasse avec café et digestif,  devant le coucher de soleil puis de faire une promenade digestive sur l'île Beaulieu.

      Cent milles sur la Loire.

     

    Cent milles sur la Loire. 

      Nous délaissons le "Nautilus" pour déambuler sur les aménagements réalisés de long des quais qui permettent d'aller pratiquement jusqu'à la pointe de l'île. Les anneaux visibles de jour qui m'intriguaient  sont  illuminés 

       http://www.iledenantes.com/fr/projets/11-quai-des-antilles.html

    Cent milles sur la Loire.

      Ce sont les anneaux de BUREN & BOUCHAIN  Les Anneaux de Buren & Bouchain sur le quai des Antilles <> Nantes

    Les Anneaux de Buren & Bouchain sur le quai des Antilles

    Depuis 2007, Daniel Buren offre au promeneur une série de 18 anneaux le long du Hangar à Bananes. Il propose une double perspective.
    Le jour, les tranches extérieures composent une série de bandes verticales argent, noires et colorées.
    La nuit, les anneaux s’auréolent de halos lumineux rouges, verts, bleus. Daniel Buren est sans doute le plasticien français contemporain le plus connu dans le monde.

    Reconnaissable entre tous, simple, minimal, Daniel Buren sort ce motif – invariable où tout varie et vit autour – dans la rue : ses œuvres deviennent des "outils pour voir".
    Les Anneaux s’inscrivent dans cette lignée.

    GPS : 47°12'1.00 N 1°34'26.17 W

    • Œuvre pérenne réalisée pour Estuaire 2007.


       

    Les vieux entrepôts sont transformés en ateliers théâtres ou même une boite de nuit (  le hangar a bananes )      

            http://www.iledenantes.com/fr/projets/12-hangar-a-bananes.html

     

    Cent milles sur la Loire.

        23h00  c'est l'heure d'investir nos cabines et nos couchettes. Nous repassons devant " la Boudeuse" dont le damier noir et blanc des sabords est eclairé par les poteaux lumineux du ponton. Ceux-ci éblouissent nettement plus qu'ils n'éclairent. Je crois que c'est la qualité pricnipalement recherchée de nos éclairages modernes.

      Départ demain à 8 h avec le flot.

    FIN 

     

     

     


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  •  

        La nuit a été super, pas trop froide, pas trop d'élimination de liquide, rasé  et déssalé, bref le bonheur! 

    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

      Se réveiller à l'aube ( 7 h tout de même, ca fait une nuit de 9 h ) se faire le café gentiment, le kitty-ouan' se dandine doucement sous l'action de nos poids respectifs, d'un bord sur l'autre, le pied quoi.

      Kitty-ouan' sur la grande bleue.

      La lumière au lever du soleil est magnifique. Le soleil renforce la luminosité du blanc des coques.

      Kitty-ouan' sur la grande bleue.

      

    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

        L'air, malgré une humidité relative importante, a bien ventilé les odeurs accumulées pendant 2 jours.

    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

     C'est frais et dispo que nous hélons la navette pour participer au brieffing. Très court on passe entre Port Blanc et l'île aux moines pour franchir le goulet.

     Kitty-ouan' sur la grande bleue.

       C'est le dernier jour,  le jour de la grande parade.

       Au breeffing, le chef de flotte annonce que tous les bateaux dont les skippers sont en capacité de sortir du Golfe pourront le faire entre  11h et 14h30 afin de revenir pour l'entrée du flot et la grande parade.

       C'est donc aujourd"hui que Kitty-ouan' navigue sur la grande bleue.

       Rapidement, presque frénétiquement le rappel des équipages s'accélère et  les navettes sont prises d'assault. Nous attendons le troisième tour pour se faire embarquer jusqu'au Kitty-ouan'.

      Les Sinagos quittent leur nid avec au moins  10-12 personnes à bord.

    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

      Les voiles hissées nous tirent mollement dans cette brise matinale. La flotille des grands bateaux est partie tôt de Vannes et nous cotoyons les côtres qui avaient  défilé la veille devant l'anse de Port Anna.

     Kitty-ouan' sur la grande bleue.

     

    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

       L'équipage est serein, nous passons les iles dont les noms sont de moins en moins ésotériques, presque reconnues avant de les doubler.

     Kitty-ouan' sur la grande bleue.

     

     Kitty-ouan' sur la grande bleue.

     

     Nous glissons  devant ceux qui par faute d'un excès de tirant d'eau n'ont pu accèder à Vannes .

     Kitty-ouan' sur la grande bleue.

     Kitty-ouan' sur la grande bleue.  

      Les thoniers  glissent doucement en s'aidant au moteur dans cette brise trop faible pour tenir les impératifs de passage du goulet de Morbihan.

    Kitty-ouan' sur la grande bleue.Kitty-ouan' sur la grande bleue.

    Kitty-ouan' sur la grande bleue.Kitty-ouan' sur la grande bleue.

       Kitty-ouan' sur la grande bleue.

        Nous admirons le "vol" du corbeau .... Le " Corbeau des mers" .....

     Kitty-ouan' sur la grande bleue.

      °°°°(deuxième nom du cormoran). Ce "Corbeau des mers" qui avait mené les hommes de l'ile de  Sein au Général de Gaulle après son appel du 18 juin. Ces hommes qui ont repésenté le tiers des effectifs de l'armée naissante de la France qui continuait le combat... Là on devrait entndre la marseillaise .... 

    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

     Une attention en passant devant la petite chapelle de l'île BOEDIC ( enfin je crois) avant le baptème salé!

    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

      Les misainiers crapahutent lentement  mais sûrement , la gestion du flèche laisse parfois à désirer. 

    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

      La meute se dirige vers Port Blanc, point de passage obligé.

    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

     Les motonautes sont de sortie et passent avec nous les îles Logoden et Drenec 

    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

      Accompagnés par de vieilles dames toutes pimpantes.  

    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

     

       Derrière la pointe du Trech et devant Port Blanc une forêt de mâts et de vergues  s'animent. Il est 10 h passées.

    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

     Kitty-ouan' sur la grande bleue.

      Une fois les invités embarqués les grands navires font route au moteur vers le goulet.

    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

      Une fois passé Port Blanc nous longeons BERDER  où un contrôle jumelle  nous fait dévouvrir les camions FR3 en bout de jetée. en train d'installer la camera pour le reportage de l'après midi.

       En descendant  pendant la grande parade, on se promet de revenir se faire filmer à la descente.

      Le Goulet de la Jument 'effectue à l'aide d'un courant molissant.

       

    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

       Décidés à bien faire les choses, nous avons réinstallés la carte.


       Ca y est, on y es t !!!! L Le goulet est passé , on est sur la grande bleue. Tout à l'attention au spectacle des voiles , nous descendons plein sud en passant devant  l'entrée du Crouesty.

      Derrière nous, la sortie du goulet est déjà loin. Les cathédrales de voiles se disséminent sur une mer gris-bleue,  photographiées sous toutes les coutures des zodiacs et autres embarcations surchargées. La chaleur brumeuse de cette mi-journée estompe les silhouettes des grands voiliers.

      Kitty-ouan' sur la grande bleue.

      Vent de travers, calé sur ses rondeurs Kitty-ouan' trace sa route sur l'atlantique à 5 noeuds. ...  L'angle de la barre me perturbe et me fait me concentrer  sur le règlage des voiles.

    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

       Derrière la mer

    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

    Devant la mer ......    

      Le bateau est "heureux" et le capitaine prépare une salade de fête. Nous mangeons en mer: salade de mais, thon, tomate et épices avec biscotte dans des bols ( cadeaux de ma femme). Une pomme et carré de chocolat avec le café. L'équipage n'est-y pas dorloté!     

     Les rencontres se succèdent.

      Kitty-ouan' sur la grande bleue.

      Kitty-ouan' sur la grande bleue.


    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

      Les vieux passent au vent....

    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

     des plus jeunes ....

    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

      

      A notre vent, puissant et rapide au débridé, un magnifique côtre sous foc et trinquette nous taille des croupières, SUPERBE!

    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

       Le " Corbeau des mers" nous rattrape aussi  sous le vent. 

     Kitty-ouan' sur la grande bleue.

      Le " Corbeau des mers"  °°°°(deuxième nom du cormoran). Ce "Corbeau des mers" qui avait mené les hommes de l'ile de  Sein au Général de Gaulle après son appel du 18 juin. Ces hommes qui ont repésenté le tiers des effectifs de l'armée naissante de la France qui continuait le combat... Là on devrait entndre la marseillaise ....

    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

      

      C'est pas  le tout mais il faut déjà rentrer. Cinq miles tout de même sur la grande bleue.  Il est 13 h30 et il ne faut pas rater le début du défilé, le mélange des flotilles, la récompense suprême.

     

    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

       Nous repassons le goulet avec le début du flot. Certains sortent encore en rasant les cailloux du goulet.


    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

      Les rives commencent à se couvrir  des short et tee shirt bariolés des spectateurs de la fête de la voile qui s'annonce.


    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

     L'équipage s'affaire au pied de mât. Rapide et professionnel, il affale les voiles en des temps reccords, après ces 3 jours d'entrainement. Nous passerons au moteur et foc le goulet.


    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

      La prise de bouée s'effectue sans souci et nous profitons du soleil et des arrivées en spectateurs attentifs.


    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

      Une famille de skellig vient s'accoupler autour de notre bouée. Un lougre, un sloop et un misainier montrent  l'étendu des gréments possibles de la gamme.


    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

     Les marguerites fleurissent et enflent au fur et à mesure des arrivées des flotilles. Le point de départ, c'est ici.


    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

      Les basques passent et repassent en ramant toujours énergiquement. Ils reviendront chez eux en racontant à leur admirateurs :" le courant de la jument c'est même pas du pipi de chaton basque". 

    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

      "Si si  regarde la voile bleue, c'est la "rieuse", le grand échalat à la barre, avec la casquette bleue, c'est Riguidel."

        Et bien non, la voile n°56 c'est bien la "rieuse", le guépard du bonhomme mais avec ses  80-82 balais, il s'est fait porter pâle. Le porte casquette nous envoie malgré tout des signes la main, fier peut être, d'avoir été pris pour le grand homme.

    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

      C'est la fête sur le port mais nous n'irons pas découvrir les animations, le timing nous semble un  peu juste avant le départ pour la grande Parade. Nous ne voulons surtout pas rater l'envolée des voiles.

    Kitty-ouan' sur la grande bleue.

     

      14 h - Avant la ruée nous faisons des ronds dans l'eau entre les lignes de bouées et  la" Grande truie" qui délimite la zone de mouillage de l'anse de  Port Navalo

    Kitty-ouan' sur la grande bleue.


    FIN:  la suite " la Grande Parade"

      


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  •   Voilà, il est temps de sortir Kitty-ouan de l'eau.

      Après le premier coup de froid et une semaine pluvieuse et désagéable, il y avait une fenêtre favorable mercredi.

      Meteo France annonce 15-16°C sur Nantes.

      Je prends donc la route mercredi  à 6h30. Nuit noire.  La température n'est pas si mal  10-11°C. A Paris la température ne montera pas de la journée.

      Ce n'est qu'une heure et demie plus tard que l'aube se lève sur une  route tranquille et peu fréquentée. Gris ou noirs, les breaks Laguna et Passat des réprésentants se suivent et se ressemblent.

      8 h, le café baguette, chez Paul me tient bien jusqu'à 10h à Carquefou où je m'arrête pour peser la voiture 1680 kg avec mes 100 kg à bord. Je fais le plein au super U. J'ai bien roulé.

      A Sucé, le bureau de Bretagne fluvial est fermé. Eh oui, c'est mercredi il fermé hors saison. Bon je vais être tout seul pour sortir le bébé de l'eau. Je ne l'ai jamais fait "alone",ca va être dur.

      Je me gare sur le port de Sucé, l'air est calme et plutôt doux (13°C c'est la fenêtre méteo). Les pagaies, les botillons de voile, les clés, je suis paré.

      Je retrouve Kitty-ouan' avec quelques traces de passage des " P... de RONJUJDUD .. ain  de canards,  ils semblent s'être moins acharnés que la dernière fois, mais ils n'ont eu que 3 semaines pour se divertir. La bâche est souillée et bizarrement il y a beaucoup de terre ou de sable mais le gelcoat est "propre" dessous.

      Le moteur démarre facilement,  je prépare les haussières et me voilà à quai rapidement. 

      Je vais chercher la remorque et je la prépare ( graisse, contact des lumières, huilage des rouleaux).  Je casse une graine et il faut bien que je m'y colle!

      Je rentre classiquement la moitié des roues dans  l'eau, je déroule le cable et casse la remorque. Elle ne reste pas cassée sauf à mettre  l'avant du kitty-ouan' sur les premiers rouleaux.

      Je vais chercher  le bateau et j'hésite un peu  à foncer sur la remorque pour  gagner quelques cm sur les premiers rouleaux... soyons raisonnable.

       Je descends du bateau directement sur la remorque comme un jeune homme grâce aux anti-inflammatoires pris ce matin, et comme prévu le bateau poussé par un vent léger se met en travers.  

       Je repousse le bateau accroché au cable et j'essaye de repositionner les 1000 kg du bateau. Bon pas evident. Je ne peux pas être au four et au moulin; être sur le treuil et  le maintenir face à la remorque.

      Je décide de remonter l'attelage de 1 metre et de maintenir la remorque cassée grâce à un tube carré positionné entre le timon relevé et l'axe de la remorque. Je repositionne le nez sur les premiers rouleaux du chemin central.

       En route pour les quartiers d'hiver.

       .Il se maintient a peu près dans l'axe.  Ca colle  le kitty-ouan' commence  à monter mais très vite; il bascule sur le coté, les rouleaux de tenue de coque sont situés plus haut.

      L'idée est alors de maintenir le Kitty-fugueur est  retenu par une haussière tendue entre un  taquet du liston et l'une des transversales de la remorque

      En route pour les quartiers d'hiver.

      

      Bon! La technique est bonne mais il faut que j'adapte mon haussière .

      J'allonge l'haussière jusqu'au treuil et je la reprends sur les poignées de la remorque au fur et à mesure de l'avancée du bateau sur celle-ci. 

      L'ensemble glisse gentiment et me maintient le Kitty-ouan quasi horizontal et dans  l'axe jusqu'à ce que l'avant rentre entre les rouleaux calant l'avant dans le droit chemin. Je pense alors à un système à utiliser la prochaine fois.

      En route pour les quartiers d'hiver. 

     Si j'en mets une de chaque coté,  je maintiens le bateau dans l'axe et limite la asculesur le coté. Il faut  que j'arrive à les positionner quand le bateau est avancé de 50-60 cm sur les rouleaux et avant qu'il perde la portance sur l'eau de l'arrière. J'ai besoin d'une liberté contrainte sur 1 m maximum le temps d'arriver dans les rouleaux avant.

       *Ca devient très dur et les crans du treuil saute de plus en plus souvent. Soudain 3 tours en arrière, je manque de prendre la manivelle dans  l'oeil!!! Mince la remorque ne se repositionne pas .....   j'ai oublié d'enlever mon entretoise ...

    En route pour les quartiers d'hiver.

        Je redescends  le bateau et vire l'entretoise à la masse  et remonte facilement ce coup-ci jusqu'au bon positionnement de la coque sur les rouleaux.

      En route pour les quartiers d'hiver. 

     Voilà  j'ai mis une bonne heure. La prochaine fois ce sera plus rapide

    En route pour les quartiers d'hiver.

     Je vidange le vivier  qui  est plein et le coffre arrière  qui se rempli  faudra voir comment cet hiver.  C'est pas bon l'eau qui rentre dans un bateau, surtout chez nos pirmils....

    En route pour les quartiers d'hiver.

     Maintenant il faut démater  et préparer l'attelage pour la route et aller peser l'ensemble.

      Satisfait  je me dirige vers la zone commerciale où le peson est situé.

      Arrivé sur place, les gendarmes sont là en train de contrôler un semi remorque. J'attends. Je n'ose pas faire les photos des gendarmes.

    En route pour les quartiers d'hiver.

      A mon tour  je me positionne sur la bascule... et là  GLURP !!!!!!      1640 Kg de remorque!  (PTAC de la remorque  1400kg), je suis mal.

      L'attelage complet est à 3340 Kg .....  Le gendarme qui est venu voir le kitty-ouan' zieute la plaque de ma remorque et me dit d'un air bonhomme " Va falloir allèger pour que je vous laisse partir...."

      Je passe l'heure suivante  à vider le bébé.( 250 kg de matos tout de même) ca fait tout ce qui est dans le bateau, porte du roof coussins, capot moteur et gouvernail inclu.

    En route pour les quartiers d'hiver.

      Ne pouvant enlever seul le moteur avec ses 50 kg, il reste en place. C'est avec soulagement que je vois, la bascule indiquant 1380 kg,  le gendarme remonter sur son destrier, tout sourire ; " Bon rangement".

      En route pour les quartiers d'hiver. 

      Encore une demie heure pour tout faire rentrer dans la voiture avec 1960 kg sur la bascule, pour  un PTAC de 1980 kg. je suis crevé mais dans les cordes. 

       Le Kitty-ouan' est sanglé serré. le mât maintenu par des tendeurs le long du chemin central de la remorque. 

      Je prends la route du retour, direction Montléry où un ami m'attend pour ranger le bateau sous un hangar. Cet hiver, je pourrai facilement venir bricoler et remettre en état le pont .

     En route pour les quartiers d'hiver.

      Il est 17 h. La route est belle. Il a fait bon aujour'hui 16 °C ( toujours la fenètre méteo) et je suis encore en teeshirt, je n'ai pas vu la journée passer... 

        °°°°°°°Mon esprit tourne et tourne ....  1380 kg   moins les 375 kg de remorque 1005 kg  moins  le moteur  50 kg - 955 kg - moins les 2-3 trucs qui restent  15-20kg donc 935 kg  moins ancre et chaine 25 kg -910 kg-.....°°°°°°

      Je ne verrais pas non plus ou presque le retour...

        °°°°°°Lelièvre m'avait dit   810 kg (avec le grément) sur le peson en sortant du chantier. C'est quoi ces 100 kg de plus et encore j'avais déjà enlevé la voile et la vergue la rame et le bout dehors.°°°°°

         °°°° De l'eau ?  faudra le peser avant de la remettre à l'eau°°°°°°

       Kitty-ouan' me suit sagement sans broncher, sanglé sur la remorque.

    En route pour les quartiers d'hiver. En route pour les quartiers d'hiver.

     Je monte  sans souci   à 100-105 au delà il tangue légèrement.

      A 21h30 il est sous son abri.

    En route pour les quartiers d'hiver.  En route pour les quartiers d'hiver.

    La journée a été longue.

      FIN  

      

      

      

     


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      Voilà nous avons suivi le sinago à liston jaune jusqu'à son repère.

     

    C'est la fête à Port Anna.C'est la fête à Port Anna.

      

    C'est la fête à Port Anna.


      Le service du port nous emmène directement au mouillage de l'autre coté du flot. Ce que nous considérons comme à prioiri un désavantage se révèlera une très bonne chose pour le spectable et nos oreilles dès les premiers éclats sonores de la sono de la fête.

     

    C'est la fête à Port Anna.

    C'est la fête à Port Anna.

      

    C'est la fête à Port Anna.

    C'est la fête à Port Anna.

     







      On  nous met à couple d'un vieux boston wailer entre  2 drascombes qui cabanent, un italien et un  anglais ou irlandais ( je ne voudrais pas me fâcher)  portant fièrement les couleurs.

     

    C'est la fête à Port Anna.


    et un skellig également equipé d'une cabane de toile.

     

    C'est la fête à Port Anna.

     

    C'est la fête à Port Anna.

     Nous sommes aux premières loges pour voir défiler les voiliers qui vont vers leur soirée "basque" à Vannes. Un superbe cotre a coque "CARIAD" se pavane et fait des ronds en venant nous narguer dans l'anse de PORT ANNA, est  bientôt suivi d'un ancien thionnier aux voiles de couleur et d'autres cotres impressionnants.

    C'est la fête à Port Anna.

    C'est la fête à Port Anna.

     

    C'est la fête à Port Anna.

     L'un deux vient nous narguer  et  mouille derrière les skelligs
     

    C'est la fête à Port Anna. un deuxième skellig vient cabaner.

       Les traces de la première journée sont là bien visibles; choc frontal ou grosse bouffée d'air nous ne le saurons pas.

    C'est la fête à Port Anna.

     C'est la fête à Port Anna.

     

     

     

     

     

     

     

     

      Après les rangements d'usage, il est temps d'aller à terre, la navette est rapidement disponible et nous rapatrie à la jetée où nous découvrons les alignements de la 3 ème flottille

     

    C'est la fête à Port Anna.

    C'est la fête à Port Anna.

    Les derniers arrivés terminent de ferler et ranger.

    C'est la fête à Port Anna.

    C'est la fête à Port Anna.

     

    C'est la fête à Port Anna.

    C'est la fête à Port Anna.

      Les dériveurs s'alignent sur la plage et les discussions indiquent que cette seconde journée fut putôt agréable.  

      Assis sur le port nous dégustons les assiettes d'huitres et un petit vin blanc sur une table conquise de haute lutte. Le soleil tape bien encore et nous profitons de ces instants ou la sono semble s'être mise au repos.  Nous arriverons même à manger correctement ente les différentes guitounes installées où, pour un prix raisonnable, le cidre coulerait presque à volonté.

     

    C'est la fête à Port Anna.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     La nuit tombe doucement et les équipages de semainiers ( skellig et drascombes) regagnent leur quartiers. Il est 21h ou presque. Tout le monde semble raisonnable.

     

    C'est la fête à Port Anna.C'est la fête à Port Anna.

       Nous installons la bâche d'eau douce. C'est en  maillot de bain que nous prenons motre première douche. Nous nous dessalons avec plaisir. C'est frais, d'accord et en fait pas tant que ça,  mais l'effet est extra. C'est envahi par un vrai bien être que nous débutons cette 3 ème nuit de cette semaine du Golfe.

     

    C'est la fête à Port Anna.

     C'est la fête à Port Anna.

     

     Un peu de lecture  et  10h30 extinction des feux.  Le bruit tenu de la sono de SENE nous parvient étouffé par la distance. On est bien là.


    fin ( prochains articles; " Kitty-ouan' sur la grande bleue" et "la grande parade".

     

     

     

     

     

     


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      5h25, je vous passe les effets de la bouteille de cidre d'hier soir.

      Vannes est tranquille et le port se réveille doucement .

      Peu de bruit de drisse le long des mâts en bois et le fond de l'air est frais.

      On reste au chaud sous le duvet en regardant une aube déjà bien levée par le hublot.

      "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

       Bientôt, le ponton bruit des premiers  pas. L'eau du port se couvre de ses premières rides de vent.

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

      P"tit dej à 7h30 - c'est des malades je vous dis. Les Ebihens nous encadrent et l'humidité de la nuit déposée sur les listons commence à luire sous les premiers rayons de soleil.

     

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

       Si vous regardez bien cette photo, il y a devant l"Ebihen de droite un dériveur de bois vernis que l'on pourrait confondre avec un loup s'il n"était pas trop petit.

      C'est le bateau d'un homme célèbre," He bien cet homme, i'me doit la vie, sur la tête de  ma mère". Je lui ai prêté 2 m de bout  et du dynema en  plus pour faire tenir son mât qui partait en sucette à la suite de la journée d'hier que vous savez.

     Et si Môssieu, Monsieur Frank Roy me doit la vie , il m'a même invité  à venir le voir sur son chantier. Si , si c'est vrai c'est pas une "carabistouille du vieux port."

      Pendant que je me fais des relations, mon breton fait la vaisselle , et consulte la meteo .

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

      "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"



     





     

      

      Le breefing se déroule sous la tente basque devant un parterre de capitaines, clairsemé dont la moitié est hagard de fatigue, de sel et de barbe de 2 jours. Il y a eu du forfait dans l'air.

      Le chef de flotte n'est sûr que de l'étape de midi au port du  LOGEO  et du retour à SENE le soir. Chacun fera au mieux entre les deux... " la devise du jour allez-y gentiment prenez du bon temps".

      Patrice arrive avec la navette de Larmor Baden et l'hallali 

    est sonné rapidement . Tout le port s'anime joyeusement.

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

       Le port se vide par le fond et voilà un Belouga tout bois qui passe. Tient je ne les avais pas encore vu! Ils ont du aller plus vite que le Kitty-ouan' hier. Bizarre les belougas font plutôt partie de la 4 ème flotille. 

       "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

     La meute des dériveurs déboule en rang serré vers l'écluse.

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

      Les voiles sont hissées. La maison rose est passée au moteur ou à l'aviron, plus par faute de vent que par respect.

      "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

       

    Les ancêtres sont là. 

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"


     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

     Les invités basques n'ont apparamment pas mangé la même "potée" que nous, 

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

     les coups d'aviron sont énergiques.

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

      Le Kitty ouan s'ébroue doucement vent arrière dans un vent faiblard.

      "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!" "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

     

     




      Bateau et équipage sont tendus vers l'objectif,


     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

    Mais Yves, le breton, semble contrarié


     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

      Patrice donne enfin le tempo:  aujourd'hui c'est décidé, on fait de la vraie nav...


     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

      Un tendeur sur le capot du roof, permet de caler la carte de façon visible pour le barreur. Vu le vent prevu pour cette deuxième journée, nous devrions pouvoir suivre et la meute  et la route.  

      Une barque latine ou sarrasine nous met la pile

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

       Mais nous rattrapons un  micro croiseur gréé en ketch aurique qui doit  avoir au moins autant de surface immergée que de surface de voile.   "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

       Après avoir passé BOEDIC  nous faisons une boucle au nord de Drenec et descendons au sud devant les îles Logoden pour aller chercher le passage au sud-est entre l'île aux moines et Arz. 


     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

      Nous passons à l'ouest de Piren en oubliant Monchiouse et un passage limite entre Piren et ce petit îlot, malgré notre tirant d'eau favorable.

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

      Tranquillement nous allons oser le passage entre  Stibiden et la pointe de l'ours pour aller mouiller devant le Logeo. Nous passons presque le Roc'h vihan avant de comprendre qu'à l'ouest Gohivan nous avons dépassé le Logeo.

      C'est presque déçu de cette premère et si courte matinée que nous sommes pris en charge par les zodiacs.

      Nous abandonnons très vite  Kitty-ouan au près d'un Berny-cat à la superbe coque rouge.   "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

    pour prendre le ti-punch apéritif proposé sous tente et cornemuse,


     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

     Nous commencons à nous habituer à l'absence de bruit sur l'eau et l'excès de décibels de la cornemuse jouée consciencieusement par ce bel athlète nous poussent à aller jouer les lézards

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"


    adossés au mur de la jetée, face à la zone de mouillage .

      "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

     

     Bon ce n'est pas tout mais on est venu mangé. Les odeurs que le vent amène de la tente cuisine associées à la bonne humeur   des bénévoles

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

    qui dansent et chantent, nous attirent. 

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

      les prix sont très raisonnables et l'accueil très sympa ( merci à tout ceux qui ont donné de leur temps à cette organisation)

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

      L'équipage se restaure et Yves retrouve de la vigueur et du moral  devant quelques galettes de pays accompagnées de cidre!

     

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      Nous sympatisons avec un couple de norvégiens

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     propriétaire d'un bateau bien sûr norvégien denommé "ELISABETH"


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     Ils sont très perplexes devant notre galette qu'ils semblent ne pas reconnaitre comme nourriture acceptable. Yves le breton qui parle anglais parfaitement et surout nettement mieux que moi , débute leur education culinaire bretonne. 

      Quant à moi je ne peux m'empêcher de parler italien (avec les mains) même en anglais.

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

     La ballade sur la jetée nous fait découvrir un spectacle de chants marins 

     

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

    A cette quasi pointe sud du golfe, quelques touristes se mélangent aux équipages mais l'ambiance reste agréable et détendue sans la presse et la foule d'hier soir.

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

     

    Yves s'essaye à quelques portraits du violoniste du groupe de chant

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    Nous déambulons quelques insants

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

    et voici peut être le capitaine de la véloce voile sarrasine de ce matin .

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    avant de reprendre de zodiac et rerouver notre Kitty-ouan'.

     

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

    C'est le départ pour Sene, la méteo est agréable le soleil donne mais le vent est moribond.

     retour à SENE

      Le vent se renforce un peu et c'est de façon plutôt agréable que la navigation de cet après midi ensoleillée se déroule.

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

      Nous nous retrouvons bord à bord avec  "Elisabeth" avec qui nous échangeons de grands signes.

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

    Yves fait quelques photos d'art "marin" et mitraille la flotte


     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"


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      Nous croisons la flotille n°7 des bateaux de travail. nous cherchons à voir un peu le "Bel idée" qui en fait partie mais l'étalement des flottes et les chemins peu parallèles ne permettent pas la rencontre.


       "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"


    Betty-boop la caravelle nous remonte  au vent.

     

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"


      Nous discutons bord à bord quelques minutes avec les collègues de la 3 ème flotille qui naviguent aux alentours.

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

      Un photographe au téléobjectif impressionnant  nous mitraille quelques instants. J'espère encore voir et récupérer les photos du Kitty-ouan' en mer avec toute la toile sur un site  mais  je fait chou blanc pour l'instant.


     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

     Le passage du goulet de Port blanc se fait au courant avec le moteur en sécurité.

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

    Un flying fiveten nous décoiffe en pasant rapidement au vent.


     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

     L'arrivée à Port Anna se précise . Pour terminer l'étape c'est simple, il faut suivre le sinago.

     

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"


    C'est la fête à Port Anna.

      Nous repassons devant la  maison rose qui voit à nouveau mais quelques siècles plus tard un bâtiment norvegien devant ses murs. Les navigateurs aux manoeuvres ne sont plus les redoutables guerriers colons mais des invités de marque de cette semaine du Gole. Le " Norvegian girl"se prépare à acoster.

     

     Nous arrivons devant un alignement de Sinago, il y a  un nid là.

     

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"

    fin

    Prochain article : c'est la fête à SENE.

     


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  •   Que dire de la soirée de Vannes.

      Tout le monde était fatigué de la journée et la réception "basque" fut "décevante".

     Eh oui les rameurs basques étaient invités et la journée a du être rude. Mais bon, le golf de Gascogne n'est pas réputé pour être une mer d'huile et ce sont de rudes gaillards. De plus, ils avaient signé.


    De Vannes au Logeo et retour à SENE

     

      Une fois le Kitty-ouan' à peu près rangé et préparé pour la nuit, nous nous sommes un peu balladés et nous avons enfin pu découvrir  la flotille n°3  dans son ensemble .


    De Vannes au Logeo et retour à SENE

     

      L'ensemble des embarcations avait été réparti tout autour du bassin du port, quasiment de l'écluse  à la porte fortifiée  de Vannes où trônait  un thonier noir et blanc, le "Corbeau des mers' (deuxième nom du cormoran). Ce "Corbeau des mers" qui avait mené les hommes de l'ile de sein au Général de Gaulle après son appel du 18 juin. Ces hommes qui ont repésenté le tiers des effectifs de l'armée naissante de la France qui continuait le combat...

     Là on devrait entendre la marseillaise ....

     

    De Vannes au Logeo et retour à SENE

      

      Les grands voiliers semblent avoir été dispatchés dans les différents ports en fête, à titre d'attraction. Nous avons eu droit au galion portugais qui assurait les visites jusqu'à 21 h.


    De Vannes au Logeo et retour à SENE


        Donc la flottille susnommée n°3, qui s'aligne le long des quais,

    De Vannes au Logeo et retour à SENE


    est plutôt hétéroclite, entre  les vauriens de 90 kg  et  mon kitty-ouan" d'une tonne et quelques. A part les Ebihen on y trouve un Loctudy qui a à peu près le même look que mon Pirmil et  une foultitude de Skellig 2 du chantier PLASMOR. Le reste, ce sont les voiles avirons aussi dériveurs que variés.

    De Vannes au Logeo et retour à SENE

       Dommage, les autres nous ne les verrons que sur l'eau et de loin.

      Donc le soir c'était dîner basque et pour dîner  ce soir,  il fallait d'abord faire la queue pour récupérer  notre ticket, à l'entrée de la tente basque qui n'avait de "basque", que quatre ou cinq tableaux de déco "basque" et une vague odeur de cuisine pimentée, donc "basque".    

    De Vannes au Logeo et retour à SENE

      La queue s'étalait sur 50 metres à l'entrée de  la toile tendue et la foule des touristes non "semainiers"  tirant les enfants par la laisse et les chiens  par les oreilles ( à moins que ce ne soit l'inverse) s'accumulaient autour des vareuses fatiguées à l'entrée de ce goulet bruyant.

    De Vannes au Logeo et retour à SENE

     Un band orchestra meuglait derrière une ouverture  de la tente sur le port et tout le monde s'époumonait à raconter qui son dessalage, qui sa pointe de vitesse ou qui encore sa galère à se garer pour venir déguster un repas "basque" hors de prix...

      Pour les "semainiers", le ticket donnait droit à une "goulach basquaise", un jus de pomme  ou un verre de vin, un fromage et un gateau que je n'ai pas reconnu....la viande non plus d'ailleurs. L'ambiance semblait plus triste dedans que dehors avec le soleil qui déclinait sur le port.

    De Vannes au Logeo et retour à SENE

      Bon! Faut reconnaître que le ticket d'inscription était plutôt raisonnable et c'est l'intention qui compte. 

      Bref avec mon breton et mon normand on l'avait malgré tout, un peu sec au pays de la crêpe et du cidre. Autant vous dire que ce ne fut pas une soirée mémorable. Nous n'avions pas forcément envie de ce "melting pot" imposé après une journée comme celle-là.
      Patrice nous quitta rapidement dans cette insatisfaction pour rejoindre en car, Larmor Baden et son village de tente, à une heure de route.

      Avec Yves, le Breton, nous sommes allés passer la porte fortifiée de Vannes, en manque de convivialité, de qualité gustative et de calories à la recherche d'une satisfaction nécessaire et suffisante de nos papilles après une journée de mer. Cette première journée de mer du Kitty-ouan que nous devions fêter.

        La première crêperie, au détour de la première rue pavée, nous est apparue cent fois plus accueillante  et conviviale. Malgré le faible gradiant d'alcool du cidre, il a fait bon se remémorer cette journée.

        Nous avons bu du cidre et mangé des crêpes, Patrice a pu prendre une douche bien chaude , nous dormirons une heure de plus demain matin; 2 à 1 avant d'aller se coucher.

         La nuit tombe sur Vannes et les rares équipages qui dorment dans les bateaux se dispersent en chuchotant sur le ponton. Il était 22 h ... à 30 nous étions endormis avec de belles images dans la tête.

         FIN : article suivant :

     "Vannes-Logeo et retour à SENE, les bénévoles, on en raffole!"






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  •   Cette année  mon père ( 82 ans et des brouettes) nous a repassé au cours d'une soirée familiale de vacances, super sympa, des photos d'un certain âge.

      J'ai compris ce soir là pourquoi j'avais acheté mon Pirmil 5.5.

      Mon père avait (dans ces années 1970 et quelques) un copain Dominique Bergelin qui dirigeait avec son frère un chantier à Herbignac. les chantiers navals d'Herbignac. Mon père nous y avait acheté notre premier 470, un vieux Morin bleu fatigué mais que nous n'avions pas eu peur de frotter par force 7 au FD des Frères Pageot qui s'entrainaient dans la baie de La Baule. Bien sur, on ne les a jamais rattrappé mais on était les seuls bateau sur l'eau ... plutôt fiers quoi.

      Ce chantier construisait les premiers Trismus ( bateau de voyage pour propriétaires fortunés). Je me souviens encore des odeurs de résine.

      http://les.trismus.free.fr/cnh.html  voilà un site où retrouver les trismus et le chantier naval d'Herbignac.

       Voici le logo ;    L'envie de "Pirmil"

      De fil en aiguille mon père se trouvait bien sur le chantier et ils sont devenus amis. Ils leur a même conçu leur Logo. Nous avions des sweets avec ce logo.( nostalgie... )


        Après la période Trismus le marché n'était pas florissant et le chantier a essayé de vendre des répliques de canot breton: le PEN-LAN ( 5 m)  et les MOR-BEHEN ( 7.2 m). quelques unités sont sorties du chantier mais la mode n'était pas vraiment à ces bateaux qui ressemblaient aux anciens bateaux de travail. La mode était aux bateaux "blancs".

        Voici donc 3 photos d'un MOR-BEHEN . Coque polyester noires et finition bois..... un petit cotre aurique, très puissant sur l'eau,  qui a marqué ma mémoire.

     

    L'envie de "Pirmil"

     

     

     

    L'envie de "Pirmil"

    L'envie de "Pirmil"

     

      Voilà, vous aurez compris que quand j'ai vu le pirmil au salon nautic, en 2008,  j'ai craqué pour cette coque.

      Le chantier a disparu rapidement après sur cet echec. Le patron de chantier s'est reconverti en éleveur d'escargots ( l'un des premiers en France) puis je n'ai plus eu de nouvelles quasiment depuis. 

      En  2008 quand j'ai ramené le Kitty-ouan' au port de Trentemoult afin que le responsable du chantier de Machcoule pose les écubiers et le WC chimique, un type en vareuse bleu et élimée, s'est approché pour me parler :" c'est marrant il ressemble à un canot fabriqué à Herbignac... Nous avons parler des chantiers et de M Bergelin. Cet ancien du chantier avait sur son terrain un des MOR-BEHEN produit dans les années 72. En mauvais état, surtout le bois,  la coque est "indestructible" m'a t'il dit!". Il espérait trouver des fonds pour le remettre à flot.

      La boucle était bouclée.

     

    fin


    19 commentaires
  •  

     

      Pirmil n°1  

        Je viens d'avoir des nouvelles du n°1 . Il a subit quelques transformations appréciables.

          AVANT 

    photo original

         APRES

          aujourd'hui


       Le Pirmil n° 1 navigue principalement en Bretagne, son port d'attache étant Bénodet pour des sorties à la journée
       Il  porte le nom de "P"tit Lumi" et possède également ces 2 dérives qui posent apparamment des soucis comme sur  ses petits frères .
       Les fixations des dérives ont été renforcées et l'étanchéité a été revue. Elles ont été doublées pour avoir une meilleure efficacité de rappel et de remontée au vent.

      La remontée au près reste malgré tout aléatoire, voir souvent impossible. Heureusement qu'il y a un moteur en puit pour appuyer la route.
       Les  réglages de la grand voile ont été modifiés, elle est aujourd'hui plus apiquée. A se demander s'il ne faudrait pas le transformer en côtre aurique avec foc et trinquette!


       Un bon résultat a été obtenu avec l'adjonction d'une bôme sur la grand voile.

      Le roof est en fait traversé par une tranchée, un passage qui permet d'aller au pied de mât pour hisser ou règler les voiles.

    nouvel aspect

      Tous les ans , des améliorations sont apportées afin de fiabiliser et d'améliorer ses capacités marines.

      Le prochain hiver le travail portera sur le centrage du bateau en essayant de repositionner le leste liquide plus sur l'avant. Il se ballade le nez en l'air.

     PIRMIL N° 2

      Le" BEL IDEE"  se refait une beauté dans le golf du Morbihan et fiabilise lui aussi ses puits de dérive.

    le bel idée

    J'attends des nouvelles.

      PIRMIL N° 3

      Le " FRELOUZ" qui était en vente depuis un certain temps a trouvé un nouveau propietaire et a été rebaptisé "AVELIOU". Il a rejoint Port Blanc en Cote d'armor. Il a fait sa première croisière entre les rochers. Malgré une panne moteur tout s'est passé le mieux du monde.

    " FRELOUZ"

    AVELIOU

    "AVELIOU"

    aveliou

    2012 nouvelles des pirmils

    Avec un PIRMIL 4.50 qui ouvre la route.

       Les jours suivants de cette croisière inaugurale, il a subit malheureusement diverses avaries qui l'ont contraint à un retour à terre précipité.

    • Le mat creux s'est décollé et fendu sur sa longueur

    2012 nouvelles des pirmils

    et il a été remis à plat  et panser comme il faut. Des renforts de toile de verre et résine ont été appliqués à intervalles réguliers. 

    2012 nouvelles des pirmils2012 nouvelles des pirmils

     2012 nouvelles des pirmils

      

    •  Le gouvernail s'est cassé au ras des renforts en bois de la partie supérieure. Les fémelots de fixation sur le tableau arrière étant situés sur la partie inférieure, les contraintes de la gite, de la tendance au lof de ces bateaux  sur le gouvernail ont entrainé une vrille systématique " du safran" qui a progressivement fragilisé le plan du gouvernail. 

    2012 nouvelles des pirmils

    2012 nouvelles des pirmils

       IL va falloir en tirer les conséquences sur le Kitty-ouan' et prévoir fémélot et fixation sur la tete du gouvernail.

    •  le support moteur s'est arraché et a du être refait.

    2012 nouvelles des pirmils

      Pour le Kitty-ouan je l'ai refait au retour de la semaine du Golf ( l'article arrive... doucement)

      Et enfin le drame de ces derniers jours de septembre, les puits de dérive se sont appamment désolidarisés de la coque et AVELIOU a quasiment coulé. Heureusement les réserves de flottabilité ont joué leur rôle et il a pu être ramené à terre.

    le drame

    le drame

     le drame


    J'attends des nouvelles pour connaitre les détails et connaitre enfin l'origine de nos problèmes récurrents.

     Si je peux aider d'une façon ou d'une autre.

     M François Lelièvre doit se balader en corsaire aujourd'hui et je crois qu' il fait partie de l'association des corsaires ( nouvelles du salon 2011).Peut être aurait il une idée comment résoudre ce problème de dérive en association avec son architecte ( inconnu : même sur le site Nauticaltrek,  François Lelièvre est cité comme  "constructeur et architecte. ")

      Nous souhaitons au propriétaire d'  AVELIOU"  de pouvoir résoudre rapidement et efficacement ce gros souci.

      Peut-être aurions nous, tous les quatre, intérêts à nous réunir afin de faire travailler un architecte ou un chantier sur notre problème.


    PIRMIL N°4


      Quand à kitty-ouan',  il a descendu la Loire en mai à 5-6 noeuds de moyenne pour la remonter aussi rapidement. Le vent de force 4-5 en arrivant à Nantes nous propulsait  quasiment vent arrière voile haute bastaques tendues, à près de 7.5 noeuds (loch) soit 5-5.5 noeuds avec le courant de 2-2.5 noeuds dans le nez. (article à venir).

      Et enfin, il a subit les derniers outrages des canards de l'Erdre, peut être parce que je l'ai oublié pendant  près de 3 mois sans lui rendre visite; j'ai été puni... ( article" Mort aux canards", déjà publié).

      Les travaux prévus cette année sont la réfection du plan de pont par poncage et lasurage pour enlever la couche de PROTEC-Plus qui nous colle aux fesses depuis la semaine du Golf 2011 et quelques modifications du cockpit et sa peinture et le lustrage du roof que j'ai dû poncer suite aux dégats de ces foutus canards de l'Erdre. Ainsi que le renforcement de la fixation du gouvernail sur le tableau arrière.

    2012 nouvelles des pirmils 


    à bientôt.

     

     


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